Un climat sain, bon pour nos jeunes.
Une vraie politique familiale est axée sur le bien de nos enfants et la cohésion sociale.
Pousser exagérément tous les parents au travail, renvoyer toutes les femmes aux fourneaux, déstructurer totalement le tissu familial ou rêvasser sur un modèle unique n’apportera rien.
Pour le PDC toutes les familles méritent d’être aidées, mais elles ne le seront pas avec des mesures uniformes ou égalitaristes.
Formons nos jeunes à affronter la vie en leur donnant des valeurs fortes telles que la responsabilité, la solidarité et le respect.
Le bien-être des enfants, la solidarité naturelle des familles, la proximité des générations donnent les meilleures chances à notre vie sociale !
PRIORITÉ AU BIEN-ÊTRE DE NOS ENFANTS !
La politique familiale du PDC est axée sur les défis qui se posent actuellement aux familles. Nous souhaitons une meilleure qualité de vie pour les familles quel que soit leur mode de vie, également dans une perspective durable – nous posons les bases du succès pour les générations futures. Au lieu de mettre en concurrence différents modèles familiaux, le PDC place le bien-être des enfants au centre de son action politique.
Nous luttons pour un allégement financier et la sécurité économique des familles.
Le PDC s’engage en faveur d’une meilleure conciliation de la vie professionnelle et familiale. Nous nous engageons pour que les conjoints aient la liberté de choisir comment répartir leur activité lucrative et l’éducation des enfants.
Il faut une offre de structures d’accueil adaptée aux besoins. Nous encourageons en principe les initiatives privées, mais également un soutien approprié de l’Etat. Nous saluons en conséquence la création de nouvelles offres d’accueil préscolaire, facultatif, et soutenons la mise en place de structures de jour.
Pour un développement optimal à la petite enfance, les enfants ont besoin d’une forte présence de la mère et du père. Pour les nouveaux papas, le PDC exige un congé paternité de deux semaines, au même titre que le congé maternité.
Nous concrétisons une politique fiscale favorable à la classe moyenne. La classe moyenne ne doit pas être d’avantage chargée de nouveaux impôts ou nouvelles taxes. De nos jours, nombre de prestations (p. ex.: garderies, écoles de musique) font l’objet de subventions pour les revenus les plus bas, tandis que les revenus élevés bénéficient d’un plafonnement des coûts – seule la classe moyenne paye le prix fort.
Le travail doit être rentable; les parents qui touchent deux salaires et qui financent eux-mêmes la garde de leurs enfants ne doivent pas être sanctionnés fiscalement. De même que les parents qui renoncent à un second salaire afin de pouvoir assumer eux-mêmes un maximum de tâches éducatives ne doivent pas être pénalisés.
Nous soutenons des tarifs d’accueil extrafamilial des enfants dépendant du revenu, conçus de manière progressive et non échelonnée. Faute de quoi, il risque de ne pas être rentable pour certains parents d’augmenter leur taux d’activité.
Les coûts du logement représentant une charge considérable pour les familles. Le Valais est le leader suisse de l’accès à la propriété dans le domaine du logement et doit le rester, car c’est la clé de notre stabilité économique et sociale. Nous créons des incitations afin que les familles puissent acquérir leur logement.