Terrain fiable.
Nous voulons que nos citoyens soient en sécurité, c’est un besoin fondamental de l’être humain. Nous ne voulons pas avoir peur d’être cambriolés ou agressés dans la rue. Nous ne tolérons pas la violence et les incivilités au quotidien!
Les plus jeunes ont besoin d’une protection toute particulière, notamment face à Internet.
La lutte contre les menaces que constituent le terrorisme, l’extrémisme violent, le tourisme criminel, le crime organisé ou la cybercriminalité exige d’accorder suffisamment de moyens aux forces de sécurité et au renseignement.
Les sanctions doivent de nouveau être ressenties comme telles ; le droit pénal doit avoir un effet préventif et dissuasif.
C’est à l’Etat qu’il incombe en premier lieu d’assurer la sécurité et l’ordre dans l’espace public.
Les plus jeunes ont besoin d’une protection toute particulière. Afin de protéger les enfants sur Internet, la Confédération et les cantons doivent agir ensemble contre toute forme de pédocriminalité et de grooming (prise de contact ciblée avec un mineur via Internet dans un but de se livrer à des actes d´ordre sexuel). Nous combattons ces crimes avec la plus grande sévérité. Une investigation préventive secrète doit être possible.
La lutte contre les menaces que constituent le terrorisme, l’extrémisme violent, le tourisme criminel, le crime organisé ou la cybercriminalité exige d’accorder suffisamment de moyens aux forces de sécurité.
Les sanctions doivent de nouveau être ressenties comme telles ; le droit pénal doit avoir un effet préventif et dissuasif. Les auteurs de violence doivent répondre devant un juge. Les suspects doivent pouvoir être détenus jusqu’à 72 heures.
La collaboration entre les différents organes de sécurité au-delà des frontières cantonales doit être intensifiée. Le fédéralisme ne doit pas y faire obstacle. L’exécution des peines et mesures doit également être conçue de manière plus efficiente.
Une collaboration internationale permet de gagner un temps précieux dans la lutte contre le crime, car la criminalité ne connaît pas de frontières ! Raison pour laquelle nous voulons renforcer le système Schengen/Dublin de la collaboration transfrontalière en matière de sécurité et le mettons en oeuvre de manière conséquente. Nous voulons utiliser l’accès aux banques de données européennes au bénéfice de la sécurité intérieure.
C’est à l’Etat qu’il incombe en premier lieu d’assurer la sécurité et l’ordre dans l’espace public. Afin de garantir la sécurité au quotidien, nous exigeons davantage de ressources en personnel et en équipement moderne pour la police et le Corps des gardes-frontière.
Concrètement, nous voulons 3000 policiers et 300 gardes-frontière supplémentaires.
La Suisse doit prendre au sérieux les risques informatiques et les cyberrisques, car nos réseaux numériques sont notre point le plus vulnérable. Les attaques contre l’infrastructure des technologies de l’information constituent une menace d’autant plus actuelle que la Suisse est un pays hautement développé. La mise en oeuvre de la stratégie nationale de protection de la Suisse contre les cyberrisques est une tâche commune de la Confédération et des cantons. La protection de ces canaux de communications et axes commerciaux modernes constitue une tâche essentielle des forces de sécurité du XXIe siècle.